OEUVRES EN VENTE DE JR, SOUS RESERVE DE TRANSACTION EN COURS.
Deux lettres pour résumer le phénomène qui a frappé la photographie au XXIème siècle. Deux lettres qui recouvrent les murs du monde entier, des favelas à l'Upper East Side.
De son véritable nom Jean-René, JR est un jeune photographe urbain né à Paris. Il accumule les projets de street-art, tous plus monumentaux les uns que les autres.
Au commencement, c'est par le graffiti que l'artiste pénètre l'art de la rue, mais en 2001, il récupère un appareil photo dans le métro parisien et mitraille.
La patte artistique de JR réside dans son processus de création, des collages photographiques gigantesques représentant des individus en noir et blanc. Pour réaliser ses projets muraux, le photographe va s'entourer d'une équipe de 15 spécialistes, se positionnant entre l'art visuel et la performance. Ce goût de l'immensité ne s'explique pas uniquement par un choix esthétique, il est aussi un moyen pour l'artiste d'attirer l'attention, l'image s'expose et s'impose à nous et ne nous laisse pas le choix.
Afin de convoquer davantage la sensibilité du public, JR va le mettre au centre de ses clichés. Ces portraits ne sont pas sans fondements, ils abordent des causes actuelles, politiques et sociétales et apportent une réflexion sur l'identité, fil rouge du travail de l'artiste. En 2008 on se souviendra notamment de son action au cœur des Favelas « 28 Millimètres, Women Are Heroes » au Brésil, recouvrant des pans entiers d'habitations par des visages saisissants. Un an auparavant, le photographe avait marqué déjà les esprits par son œuvre « Face 2 Face » où des portraits de palestiniens et d'israéliens se répondaient en souriant sur le mur de séparation entre les deux villes en conflit.
Plus récemment, c'est au Panthéon et au Louvre que JR s'est attaqué. Il habille le Panthéon des portraits de passants puis fait disparaître la pyramide du Louvre.
De son véritable nom Jean-René, JR est un jeune photographe urbain né à Paris. Il accumule les projets de street-art, tous plus monumentaux les uns que les autres.
Au commencement, c'est par le graffiti que l'artiste pénètre l'art de la rue, mais en 2001, il récupère un appareil photo dans le métro parisien et mitraille.
La patte artistique de JR réside dans son processus de création, des collages photographiques gigantesques représentant des individus en noir et blanc. Pour réaliser ses projets muraux, le photographe va s'entourer d'une équipe de 15 spécialistes, se positionnant entre l'art visuel et la performance. Ce goût de l'immensité ne s'explique pas uniquement par un choix esthétique, il est aussi un moyen pour l'artiste d'attirer l'attention, l'image s'expose et s'impose à nous et ne nous laisse pas le choix.
Afin de convoquer davantage la sensibilité du public, JR va le mettre au centre de ses clichés. Ces portraits ne sont pas sans fondements, ils abordent des causes actuelles, politiques et sociétales et apportent une réflexion sur l'identité, fil rouge du travail de l'artiste. En 2008 on se souviendra notamment de son action au cœur des Favelas « 28 Millimètres, Women Are Heroes » au Brésil, recouvrant des pans entiers d'habitations par des visages saisissants. Un an auparavant, le photographe avait marqué déjà les esprits par son œuvre « Face 2 Face » où des portraits de palestiniens et d'israéliens se répondaient en souriant sur le mur de séparation entre les deux villes en conflit.
Plus récemment, c'est au Panthéon et au Louvre que JR s'est attaqué. Il habille le Panthéon des portraits de passants puis fait disparaître la pyramide du Louvre.
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